Nos animaux de compagnie sont les premiers à nous rappeler à que les animaux sont sensibles et ont chacun leur personnalité, leurs intérêts propres. Nous savons qu'aucun animal ne souhaite souffrir et qu'aucune souffrance ne devrait lui être infligée. Pourtant, nous cautionnons l'insoutenable et les animaux qui ne sont pas les nôtres endurent d'extrêmes souffrances pour notre simple confort.
Francione pose un diagnostic ; la schizophrénie morale. Heureusement, rien d'incurable, et le remède est aussi simple qu'efficace : après l'esclavage humain, il nous faut abolir l'exploitation animale.