«J'avoue ne pas goûter la Bible et j'aime fort les Grecs, cela dit entre nous. La Bible sent la morale et le sperme, on y fait trop d'enfants, les femmes là-dedans ne cessent d'accoucher, les hommes – il est vrai – s'y tuent de la manière la plus éloquente, il faut bien remplacer les morts. Les lois divines ont l'air peuple et de province, le petit genre s'y mêlant aux grands principes, cela doit toucher une foule et tous les savetiers de l'univers ne manqueront de tomber en extase à la lecture des Prophètes.”