“Dévorante”, “crétinisante”, “confusionnelle” au dire de Breton, l'activité journalistique n'a jamais eu bonne presse parmi les surréalistes, qui ont violemment fustigé le “mercenariat de l'opinion” (Desnos) et la “canaille” écrivante (Aragon) dans ces années 20 au cours desquelles s'affirme, comme jamais, le triomphe de l'écrivain journaliste.