Les communicants ont su si bien infiltrer, contrôler, limiter ou même interdire l'information que l'on est amené à s'interroger sur la place réelle qui est dévolue, aujourd'hui, au journalisme.
Selon l'auteur, cette « colonisation de l'information » se poursuit avec l'infocommunication, qui est née des « noces barbares » de la communication et du journalisme. Elle envahit, dit-il, à la façon d'une « algue tueuse » le territoire informationnel des médias.