Là-Haut, comme l'ensemble de l'œuvre romanesque de Rod, a quasiment disparu de notre mémoire littéraire, phénomène d'autant plus étonnant que cette œuvre était fort connue et appréciée au début du siècle. Un critique comme Victor Giraud n'hésitait pas en son temps à saluer Édouard Rod comme «l'un des maîtres de l'heure».