Nous vivons un nombre limité d'années face à deux éventualités: ou il n'y a rien pour nous après la mort, et que m'importe alors qu'il reste ou ne reste rien de ce que j'ai pu faire durant ma courte vie. En regard de l'illimité du néant. Ou bien il y a une éternité vivante auprès de la Source, et si je m'y trouve, je ne pourrais, dans sa plénitude, que sourire en voyant le peu qui reste de ce que j'ai fait, ou rien du tout. Tout se jouant dès lors dans cette éternité.